René
Vandersande est membre de la première
heure. Il a rejoint sans hésiter
ses deux amis pour une folle aventure.
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« …
E Saquant Beyaus sont nés des dimanches sans voitures. On
n'avait rien faire alors on s'est mis à faire de
la musique. Au départ nous étions quatre. Mais
le groupe a vraiment commencé quand d'autres nous
ont rejoint. Après quelques mois de répétitions
intensives, nous étions au point. Nous avons su
créer une ambiance dans les salles. Notre public
regroupait des gens de tous les âges. C'est ce
qui faisait que beaucoup de personnes nous appréciaient.
Ils passaient d'excellentes soirées en notre
compagnie. En 79, j'ai quitté le groupe. Il y
avait de plus en plus de contraintes, je ne jouais
plus pour le public que j'aimais. Alors j'ai changé
de groupe. Mais ça, je l'ai vite regretté!
..."

"...
Ce que j'aimais plus que tout dans
E
Saquant Beyaus, c'était de voir le public surpris par les textes
que nous trouvions. Nous voulions rester
authentiques et cohérents par rapport à ceux-ci
et c'est pourquoi nous chantions en patois picard.
Les personnes âgées en redemandaient. On n'avait
pas vraiment de message à faire passer. Il n'y avait que le contact avec le public qui
comptait. Mon meilleur souvenir est le concours de
la chanson wallonne, en 74 à Chaudfontaine.
Jean-Marie avait relevé le défi en proposant
deux morceaux de ses compositions.
Nous avons fini deuxième
!
..."
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